30 octobre 2015
LE GRAND PIN - Estelle Fauré
Chaque soir, en rentrant de l’école, je revenais le voir. Il m’attendait, laissant le temps couler sur son écorce rugueuse. Dans son ombre immense, le sol, l’air, les animaux, même, se parfumaient d’une senteur délicate rappelant la mer. Il était ma cachette...